Le 21 octobre 2013, le SNAPATSI est intervenu auprès de l’administration centrale, du comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail, du médecin chef de la médecine de prévention et du responsable national santé et sécurité au travail pour dénoncer la dangerosité et l'état de risque que les agents encourent à continuer à travailler dans cet ancien commissariat.
Le SNAPATSI a mis l'administration face à ses responsabilités.
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